Le métier de rédacteur web est très exigeant. Malgré tout, il attire l’attention de nombreuses personnes. Il est essentiel d’être passionné pour exceller dans le domaine de la rédaction web. Il ne faut pas seulement se laisser tenter par les gains intéressants qu’il est possible de réaliser en travaillant à son propre compte. Avant de devenir un rédacteur web indépendant, se former est indispensable. Une fois que vous avez acquis les connaissances nécessaires, choisissez le statut adéquat. Quelle formation pour devenir rédacteur web ? Il est possible de faire l’impasse sur la formation pour devenir un bon rédacteur web. Une personne suffisamment motivée peut apprendre ce métier sur le tas. Un autodidacte passionné et curieux peut très bien maîtriser les différentes techniques de la rédaction web. Les livres spécialisés et les tutoriels disponibles sur le web permettent de développer une connaissance des spécificités de la rédaction pour le web. Cependant, il faut aussi lire des magazines, des livres, des revues spécialisées ou encore les journaux pour trouver votre style. Cela contribue également à approfondir votre connaissance des règles grammaticales et des syntaxes. De plus, vous devez apprécier l’écriture et les mots. Un bon rédacteur web possède une grande culture générale afin de pouvoir écrire facilement sur des sujets variés. Passer par l’étape formation rédacteur web constitue un bon moyen de partir sur de bonnes bases dans le domaine de la rédaction web. Se former via les plateformes spécialisées est une excellente solution. La formation continue au sein d’un organisme peut être financée par Pôle emploi ou le Conseil régional. Le rédacteur web peut également avoir des diplômes qui lui permettent d’intégrer le monde du journalisme. Après le bac, une formation de trois années permet de disposer d’une licence professionnelle (bac +3) en référenceur et Rédacteur Web. Si le rédacteur veut continuer sa formation, il peut obtenir un master professionnel (bac +5) en communication, en multimédia ou en édition. Une formation d’Expert en ingénierie et management de la communication numérique est également disponible. Les différents statuts du métier de la rédaction web Après la formation, le rédacteur web peut travailler pour le compte d’une entreprise. Il profite d’un régime social dédié. Il peut décider de devenir rédacteur entrepreneur-salarié au sein d’une coopérative d’activités d’entrepreneurs. Une option qui lui permet de bénéficier du numéro Siret de la CAE, de l’expertise d’un comptable et de l’accompagnement de conseillers. Pour profiter de ces différents avantages, il doit verser jusqu’à 20 % de son chiffre d’affaires à la structure qu’il a choisie. En choisissant de devenir freelance, le rédacteur web se retrouve sous le statut d’auto-entrepreneur. Pour obtenir son numéro d’immatriculation, il doit déclarer son activité à l’URSSAF. Avec ce régime, le rédacteur indépendant peut remettre à ses clients des factures HT sans TVA. Des charges sociales sont prélevées sur son chiffre d’affaires. Concernant l’imposition, le statut d’auto-entrepreneur est le plus intéressant puisque la déclaration du CA est effectuée de manière trimestrielle. Quant aux charges sociales, elles représentent 25 %. En tant que freelance, le rédacteur

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La réouverture des commerces fermés depuis octobre ne va pas entraîner l’arrêt brutal des aides publiques. Au grand soulagement des bénéficiaires qui redoutent l’impact des jauges sur leur niveau de rentabilité. Heureux de redémarrer mais inquiets des conséquences financières des réouvertures : cette équation résume l’état d’esprit de nombreux restaurateurs et gérants de bars alors que se profile la date de leur déconfinement. Le 19 mai, ils pourront de nouveau accueillir du public, sur leurs terrasses seulement (dans la limite de 50% de leur superficie), et à la condition d’y respecter les règles de distanciation physique. A partir du 9 juin, leurs salles seront de nouveau accessibles aux clients, selon les mêmes modalités (pas plus de six personnes à table). Avec ces capacités très réduites, la réouverture tant attendue risque d’être peu lucrative. Et, parmi les commerçants concernés, sous perfusion depuis plus de six mois grâce au fonds de solidarité, nombreux sont ceux qui redoutent les conséquences d’un arrêt rapide des aides publiques. Le pire devrait être évité, du moins dans un premier temps : selon des informations dévoilées par Le Parisien, l’Etat envisage de prolonger durant trois mois les indemnisations versées aux entreprises des désormais très fameux secteurs S1 et S1 bis, les plus impactés par la crise en raison des fermetures administratives de très longue durée qu’ils ont dû respecter : c’est évidemment le cas pour les bars et les restaurants, mais aussi pour les hôtels, les structures du tourisme, les professionnels de l’événementiel, de la culture et du sport. Pour ces enseignes, le fonds de Solidarité sera donc prorogé jusqu’en aout avec des prises en charge mensuelles dégressives à mesure que les restrictions seront assouplies : ce maintien vise à faire en sorte que les réouvertures soient à peu près rentables en compensant les manque-à-gagner liés à l’application des jauges en extérieur et en intérieur. Dans le détail, le montant de l’aide atteindra un niveau équivalent à 40 % de la baisse constatée par rapport au chiffre d’affaires réalisé en temps normal, ici juin 2019. En juillet, l’allégement des contraintes d’accueil conduira à limiter l’enveloppe à 30% des pertes, puis à 20 % en août prochain. Pour éviter les effets d’aubaine, un seuil d’accessibilité à l’aide sera fixé dès qu’une baisse de 10% du CA est constatée. Un plafonnement restera en vigueur à hauteur de 200 000 euros. Pour ce qui concerne les cotisations salariales, la part financée par l’Etat va baisser de 20 à 15% à partir de juin.

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Le fonds de solidarité est élargi toutes les entreprises pénalisées par les restrictions de déplacement mises place partout en France depuis le 30 octobre. Instauré pendant la première vague de l’épidémie pour soutenir les indépendants (dont beaucoup de commerces), puis recalibré après le 11 mai en faveur des secteurs les plus affectés par la crise (tourisme, culture, évènementiel), le fonds de solidarité a de nouveau été réajusté par Bercy afin de soutenir les acteurs économiques heurté de plein fouet par le deuxième confinement, instauré vendredi dernier. Le dispositif, doté de 6 milliards d’euros supplémentaires, est ouverts aux PME (de moins de 50 salariés), TPE et aux travailleurs indépendants. Quelles sont les conditions pour en bénéficier et, surtout, à quel montant les entreprises éligibles peuvent-elles prétendre ? Pour rappel, le fonds s’était traduit, au printemps dernier, par des versements mensuels de 1 500 euros censés permettre aux commerces fermés de payer leurs charges fixes (dont le loyer). Au fil des semaines, ces enveloppes avaient été réévaluées fin d’apporter un soutien d’urgence aux entreprises au bord de la faillite. Des aides de 1 500 à 10 000 euros A partir du 1er novembre, les aides seront portées jusqu’à 10 000 euros (dans les faits, c’était déjà le cas avant ce deuxième confinement pour les secteurs très impactés depuis mars, comme les discothèques). Ces indemnités renforcées cibleront les entreprises de moins de 50 salariés, dont les indépendants frappés par un arrêté de fermeture administrative : sont bien évidemment concernés les restaurants, les bars, les coiffeurs, les magasins de prêt-à-porter, et beaucoup d’autres. Certains métiers qui relèvent directement de la culture, du tourisme ou du sport, ou en dépendent sur le plan économique, seront potentiellement éligibles à l’aide maximale de 10 000 euros (y compris s’ils restent en activité pendant le confinement). Pour ces catégories (listée dans les secteurs d’activité dits S1 et S1 bis), un critère économique sera évalué : il devra porter sur une perte justifiée de 50% de chiffre d’affaires. Enfin, le premier niveau du fonds de solidarité, matérialisé par l’enveloppe minimale de 1 500 euros mensuels, est réactivé pour les métiers restés ouverts (une boulangerie, un buraliste ou une charcuterie par exemple), mais dont la crise et les restrictions de déplacements pourraient peser sur leur chiffres d’affaires (là aussi, le seuil de déclenchement se fait à partir de 50% de pertes). Le ministre de l’Economie a toutefois rappelé cette aide de 1500 euros ne s’adresse pas qu’aux commerçants. Elle concerné « tous les indépendants, sans exception, et les micro-entreprises ».

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Pour soigner leurs images et gagner en notoriété, de nombreuses entreprises offrent à leurs potentiels partenaires des objets personnalisés. Certaines campagnes de communication par l’objet sont également efficaces pour la fidélisation. Cependant, pour atteindre les résultats attendus, il est important de bien choisir le fournisseur. L’importance de bien choisir le fournisseur d’objets personnalisés et d’articles tendances Les professionnels privilégient les objets modernes et tendances pour leurs campagnes de communication. Il est toutefois important de travailler avec un fournisseur fiables, qui est indispensable pour les associations, les collectivités et les entreprises. Ce dernier guide ses clients dans leurs choix, afin de communiquer avec des objets personnalisés utiles et tendances. L’utilisation d’objets personnalisés tendances assure la réussite des campagnes de communication par l’objet. Il ont un impact sur la notoriété de l’entreprise en question, mais également sur son image innovante et sur sa réputation. Selon la nature des objets sélectionnés, il est possible de mettre en place une campagne de fidélisation destinée uniquement aux meilleures clients. Le rôle d’un fournisseur d’objets personnalisés Au niveau de l’utilisation, les objets publicitaires sont tendances dans de nombreuses circonstances. Ces accessoires originaux permettent de stimuler un client, un partenaire ou un collaborateur. Le cadeau aura d’autant plus d’impact s’il est choisi en tenant compte des goûts et des besoins de son futur bénéficiaire. Lorsque la campagne est destinée au grand public et vous ne connaissez pas encore les bénéficiaires, mieux vaut opter pour des objets utiles dans la vie quotidienne. Vous pouvez personnaliser vos accessoires pour les rendre encore plus visibles et tendances. Les fournisseurs offrent diverses fonctionnalités de personnalisation et des produits de qualité. Le fournisseur objets personnalisés articles pas chers propose de nombreux objets tendances pour les professionnels et les managers. Pour la fabrication d’objets personnalisés, les fournisseurs utilisent des matières premières de qualité, ce qui représente un atout pour les professionnels qui envisagent de mettre en places des campagnes de communication. De plus, il est important que le cadeau soit original, afin de véhiculer un message de créativité. Le fournisseur représente le meilleur acteur pour vous soutenir dans la mise en place de vos campagnes. En plus de l’aider à personnaliser les objets publicitaires, il conseille ses clients dans leurs choix et peut les accompagner dans certaines démarches.

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Instagram fait partie des réseaux sociaux qui connaît un véritable succès partout dans le monde. Avec son milliard d’utilisateurs il est devenu très incontournable pour partager et publier des photos. C’est surtout ces dernières qui sont au cœur du service. Ce réseau social peut être un excellent moyen dans l’élaboration d’une stratégie web marketing. Seulement, pour avoir plus d’abonnés, il faudrait suivre quelques techniques. Voici quelques étapes essentielles. Préparer une stratégie de contenu éditorial La première étape pour obtenir plus d’abonnés sur Instagram est de proposer un contenu unique. Comme la photo est le principal attrait pour ce réseau social, il faudrait mettre des photos inspirantes qui donnent envie aux internautes de s’abonner. Il suffit de consulter les manières d’utilisation de l’Instagram par les marques les plus populaires. L’objectif est de comprendre le succès de leur présence. Elles utilisent des photos uniques, personnelles et originales. Un compte Instagram peut être populaire avec une vraie stratégie de contenu. L’idéal est de miser sur la nouveauté et l’originalité. Après, il faut publier au bon moment afin de booster le nombre de followers. Pour cela, il est conseillé d’établir un calendrier éditorial en définissant le contenu, le jour et l’heure. Pour attirer plus d’abonnés, il faut déterminer les moments propices de la journée pour publier des photos. La stratégie de contenu n’est toutefois pas suffisante, car il faut également la gérer. Il est essentiel de l’ajuster constamment en fonction des tendances, sans oublier d’utiliser des hashtages populaires et pertinents pour garder ses abonnés. Interagir avec ses abonnés Lorsqu’on a un compte Instagram, il nécessaire d’interagir avec les abonnés même s’ils ne sont pas encore très nombreux. S’ils ont commenté les photos, il est important de répondre rapidement. Engager la conversation avec qu’ils puissent parler de la photo ou de la marque à leurs proches. Instagram est certainement l’un des réseaux sociaux les plus chaleureux qui soit. On peut vraiment échanger facilement avec le monde entier et pour gagner rapidement des followers. En communiquant régulièrement avec les nouveaux contacts, ils seront plus susceptibles de partager et promouvoir les photos et donc de permettre de gagner des abonnés. Utiliser les autres réseaux sociaux Pour gagner beaucoup de followers, il peut être intéressant de lier son compte Instagram avec Facebook. Non seulement cela multiplie les chances de se faire suivre par les amis, mais en plus il est possible de poster des photos en simultané sur les deux comptes. Il faut seulement faire attention de ne pas abuser des hashtags ou d’emojis sur un post sur le profil Facebook. A part Facebook, les autres réseaux sociaux comme Twitter, LinkedIn, Tumblr, Viadeo, … peuvent également être utiles pour promouvoir un compte Instagram, surtout si la communauté y est développée. Si on devient un professionnel, il ne faut donc pas oublier de mettre le lien de tous les réseaux sociaux sur le site web officiel.

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Le formulaire 2044 fait partie des documents nécessaires pour faire la déclaration d’impôt sur le revenu. Il concerne spécifiquement les revenus fonciers, qui sont les loyers perçus de vos biens mis en location (non meublés). C’est donc grâce à ce document que vous pourrez faire votre déclaration fiscale. Comment remplir ce formulaire ? Pour bien remplir le formulaire 2044, il faut procéder en trois étapes car le formulaire est divisé en trois parties. Dans un premier temps, vous devrez renseigner vos informations personnelles, les revenus de parts de sociétés immobilières et les revenus de fonds de placement immobilier. Au cas où vous êtes associé dans une SCI, vous devrez aussi y reporter vos parts cités dans le formulaire 2072. Dans la deuxième partie du formulaire, vous devrez définir les revenus issus des propriétés rurales et urbaines. Pour cela, il faudra remplir des rubriques sur la fiscalité des revenus fonciers. Il s’agit de loyers, de taxe foncière, de frais de gestion et d’intérêts d’emprunt. Dans la dernière partie, vous devrez énumérer les frais spécifiques tels que les travaux d’entretien et de réparation. Le calcul du résultat foncier se passe dans cette dernière partie du formulaire et tient compte des données renseignées dans les deux premières. Il faudra y renseigner les ventes de biens ou d’abandons de location qui se sont produits au cours de l’année. Le régime d’imposition On distingue deux régimes d’imposition lorsqu’il est question de revenus fonciers : Le régime de droit commun, qui est une imposition sur les revenus nets Le régime micro-foncier, qui est une imposition sur les revenus bruts. Ils doivent être en-dessous de 15 000 € par an et peuvent générer un abattement d’impôt jusqu’à 30% Pour le régime micro-foncier, il ne faut donc pas oublier de considérer les dépenses qui seront déduites des revenus fonciers bruts. Selon l’application de certaines lois, vous pouvez avoir accès à des abattements d’impôts plus ou moins importants. Le formulaire est déjà établi de façon à être rempli le plus facilement possible. Cependant, en cas de doute, n’hésitez pas à demander des compléments d’information auprès des autorités concernées. Le formulaire 2044 spécial 2018 Pour une déclaration des revenus fonciers de 2018, il faut remplir un formulaire 2044 ou un formulaire 2044 spécial. Tout dépend de votre régime d’imposition. Il faut aussi noter que tous les revenus fonciers ne doivent pas forcément être retranscrits sur ce formulaire. Pour le formulaire 2044 spéciale 2018, ce qui change, c’est que les revenus fonciers non exceptionnels, les traitements et les salaires non exceptionnels de 2018 ne seront pas imposables. Cela ne signifie pas que vous ne devrez rien déclarer aux services fiscaux, bien au contraire. Pour la déclaration des revenus fonciers exceptionnels, tout reste pareil comme durant les années précédentes, sauf pour le régime réel. Dans ce cas, vous aurez à remplir une page spéciale Année blanche. Cela permettra de supprimer votre impôt sur les revenus 2018. Les revenus exceptionnels sont les retards de loyers (pour les années précédant 2018), les pas de

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Le RGPD est un règlement de l’Union européenne qui constitue le texte de référence en matière de protection des données à caractère personnel. Il renforce et unifie la protection des données pour les individus au sein de l’Union européenne. Ce règlement est applicable aux contrats de la commande publique dès lors que ces derniers comprennent une prestation mettant en œuvre un traitement de données à caractère personnel. Les notions de « données à caractère personnel », « traitement », « fichier » sont définies au sein de l’article 4 du RGPD. Un traitement peut être constitué à partir du moment ou une simple « consultation » de données à caractère personnel intervient. Le responsable de traitement (art. 4.7 du RGPD) est l’acheteur et le sous-traitant (art. 4.8 du RGPD) est le titulaire du contrat. Les critères à respecter Pour faciliter votre mise en conformité avec le RGPD, vous pouvez, en tant qu’acheteur public, faire appel au délégué à la protection des données (DPO). Pensez également à respecter ces différents critères : – La tenue d’un registre de traitement (article 30 du RGPD) ; – La mise en œuvre des mesures techniques et organisationnelles appropriées afin de garantir un niveau de sécurité adapté au risque (article 32 du RGPD) ; – La conduite d’études d’impact si nécessaire (article 35 du RGPD) ; – La mise en place de mesures techniques et organisationnelles destinées à garantir l’effectivité des droits garantis par le RGPD aux articles 12 à 22 (droit d’accès, rectification, modification, opposition) – La notification à la Cnil dans les 72 heures des cas de violation des données à caractère personnel (article 33 du RGPD) et la communication de cette violation aux personnes concernées dans les meilleurs délais en cas de risque élevé pour les personnes concernées (article 34 du RGPD). Se poser les bonnes questions De nombreuses questions et vérifications peuvent vous aider à respecter le RGPD lors de l’ensemble des étapes de votre marché public. En amont : Dans un premier temps, lors de la définition du besoin, demandez-vous si votre marché met en œuvre des traitements de données à caractère personnel. Si oui, dans quel objectif et pour quelle durée ? Qu’allez-vous confier à votre titulaire et quelles sont vos obligations à son égard ? Lors de la rédaction : Insérez des clauses relatives aux données personnelles au sein de votre cahier des charges telles que : les modalités de rédaction et de mise à jour du registre de traitement, les informations sur le stockage, la conservation et la portabilité des données, les obligations du sous-traitant vis à vis du responsable du traitement etc. Lors de l’exécution : Assurez-vous que le RGPD a bien été respecté par votre titulaire. En fin d’exécution : Vérifiez que les données collectées ont été traitées conformément aux clauses mentionnées au sein du contrat public (destruction, transmission etc). Veillez donc à bien respecter le RGPD lorsque vous publiez vos marchés publics sur des portails d’appel d’offre comme France Marchés ou encore E-Marchés Publics

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Les sous-traitants ne manquent pas en France de nos jours. C’est le cas notamment dans le domaine informatique. Agence offshore, consultante et prestataires indépendants, vous avez l’embarras du choix. Ils peuvent être d’un grand secours pour l’administration de la partie informatique de votre entreprise. Passer par cette démarche peut non seulement vous simplifier les choses, mais aussi impacter sur la réussite de votre activité. De la création de site à la régie informatique Les sous-traitants informatiques peuvent vous proposer différentes prestations. Cela va de la création d’un site sur mesure, marque blanche ou non, à la régie informatique, à savoir la gestion technique et complète des plateformes professionnelles. Vous avez le choix de webmasters, de référenceurs, d’intégrateurs et bien d’autres prestataires de ce genre encore disposés à vous accompagner dans la digitalisation de votre société. Attention cependant, vous devez choisir les bons profils pour garantir la réussite de votre projet. On conseille non seulement les prestataires expérimentés dans le domaine concerné, mais aussi un professionnel qui a le contact facile. Celui-ci sera davantage à même de vous accompagner et de vous conseiller pendant toute la durée du contrat. Comme quoi, vous n’avez pas uniquement à vérifier le devis proposé pour faire le tri des différents profils. Une gestion professionnelle des sites : pourquoi ? Contrairement aux idées reçues, la digitalisation d’une entreprise est loin d’être facile. C’est un travail à temps plein. Il faut non seulement avoir un site, mais le mettre à jour régulièrement. Il faut également en assurer le référencement. Il ne suffit pas de réussir à s’afficher dans les premières pages de résultat de Google. Encore faut-il y rester pour séduire davantage de clients. Pour aspirer à une réussite à l’image de Solocal, l’ex-page jaune dirigée aujourd’hui par Eric Boustouller, il faudra une équipe affectée uniquement à l’administration du site. Ce peut être un sous-traitant. De préférence, travaillez avec une agence offshore. Cette dernière dispose de plusieurs petites mains qui peuvent assurer la réussite de votre site : rédacteurs de qualité, référenceurs, intégrateurs, blogueurs, copywritters, etc. Elle prendra en charge la régie informatique du site de A à Z. Un contrat sur mesure en fonction de vos impératifs Les sous-traitants vous proposeront toujours un contrat sur mesure, respectant notamment vos impératifs. Vous décidez vous-même la durée de l’engagement et les prestations dont vous aurez besoin. Ce qui impactera sur le devis proposé. Autant pour la création de site que la gestion de celui-ci, vous avez la main mise. Vous pouvez émettre un cahier de charge pour diriger les sous-traitants. D’ailleurs, il est conseillé de leur donner de plus amples informations sur le genre de public cible que vous avez envie de toucher avant même le début d’exécution du contrat. Cela leur permettra de comprendre davantage vos attentes et vos objectifs et d’adapter leur prestation en conséquence. Pendant toute la durée du contrat, les sous-traitants restent à votre disposition pour d’éventuels questions, informations ou changements. Ils reviennent d’ailleurs souvent vers vous pour avoir votre accord avant de publier

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Présent dans les grandes villes de France depuis 6 ans, l’escape game séduit les managers à la recherche d’idées originales pour les activités de team building. Cette activité est réalisée en général en groupes de 2 à 6 personnes et permet de développer différentes qualités chez les participants. Certains d’entre eux découvrent des qualités qui n’avaient pas été observées auparavant et les utilisent au profit de la réussite de l’équipe. Comment l’escape game est né ? L’escape game, appelé en français jeu d’évasion, est né au Japon en 2005. Le jeu s’est développé d’abord en Asie et ensuite il a été importé partout dans le monde. A ces débuts, le jeu était pratiqué à l’occasion de divers événements et les bars l’ont adopté pour amuser leurs clients. En France, le jeu d’évasion s’adresse à un public très varié : groupe d’amis, familles avec enfants, entreprises à la recherche d’activité de team building. L’escape game dure en moyenne une heure et demi, soit une heure de jeu et une demi-heure de briefing. Le groupe de 6 personnes entre dans une pièce avec un énigme à résoudre. Les participants commencent à rechercher des indices pour résoudre l’énigme et sortir de la pièce. La résolution s’appuie sur les qualités de chaque participant ainsi que sur l’écoute et le communication au sein de l’équipe. Pourquoi les managers aiment cette activité de team building ? L’escape game est devenu une des activités de team building préférée dans les entreprises. Elle permet aux participants de mettre en commun leurs qualités et compétences, d’apprendre à se synchroniser et de mieux communiquer. C’est une occasion de valoriser les apports du travail d’équipe. A cet effet, L’Onirium Nantes propose dans ses salles des activités d’escape game. En plus des séances de jeu, il peut proposer des services d’organisation de séminaires et de réunions. Selon les objectifs de chaque entreprises, L’Onirium Nantes peut proposer des cours d’œnologie et des séances de théâtre d’improvisation. Dans les équipes, l’escape game est une activité ludique et de détente, qui est susceptible de plaire à tous, quel que soit l’âge et le parcours de chacun. Les participants ont une occasion de mieux se connaître en dehors des bureaux et de l’environnement de travail. Comme le contexte est ludique, ce jeu peut être utilisé pour récompenser ses équipes pour la réussite d’un projet ou encore pour fêter l’anniversaire de la société. L’escape game a plusieurs points en commun avec n’importe quel projet d’entreprise. Un projet qui exige les compétences et les qualités de plusieurs membres, qui sont mis en commun pour réussir. C’est également un projet qui s’appuie sur la capacité d’écoute, la communication et l’esprit d’équipe.

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Pour ne pas investir dans des solutions informatiques en interne, de nombreux chefs d’entreprise décident de déléguer la gestion de leur datacenter à des experts de la numérisation d’archives. Certains d’entre eux prennent également en considération la possibilité de migrer vers un cloud public, mais cette solution s’avère coûteuse sur le long terme. Compte tenu de la législation nationale, de plus en plus de chefs d’entreprise décident de stocker leurs documents au format numérique. Cela leur permet d’y avoir accès à tout moment de la journée, même lorsqu’ils ne sont pas au bureau. Qu’il soit hybride ou privé, le cloud offre aujourd’hui aux entreprises de nombreux avantages. Choisir un cloud public ou un Software Defined Storage ? Selon les statistiques récentes, de nombreux dirigeants s’orientent vers le cloud public. Dans la plupart des cas, ils choisissent les services d’hébergement de Microsoft ou d’Amazon. Les chefs d’entreprise prennent généralement cette décision pour ne plus investir dans un matériel informatique qui nécessite un entretien régulier. Déléguer la gestion du datacenter, de l’environnement et des machines à des professionnels qualifiés permet d’économiser de l’argent, notamment à court terme. Il faut toutefois préciser que ces tarifs sont d’habitude très intéressants au premier abord, mais que le coût d’hébergement peut augmenter considérablement après 3 ou 5 ans. Par conséquent, de nombreux chefs commencent à s’intéresser aux différentes solutions de stockage « software defined ». Les nouvelles tendances technologiques De plus en plus en plus de chefs d’entreprise décident de migrer d’un hébergement interne vers un cloud public ou privé en vue de simplifier le quotidien de leurs employés et faire des économies. En réalité, ils économisent plutôt au début, car les tarifs d’hébergement deviennent de moins en moins intéressants après quelques années, voire après quelques mois. Afin d’avoir accès à une formule de stockage de données qui demande très peu de ressources humaines et financières, pensez à demander l’aide des professionnels spécialisés dans la numérisation d’archives. Les professionnels d’Ista49 vous proposent une gamme diversifiée de services de qualité pour que vous réussissiez à optimiser le rendement de vos salariés et faire des économies. En fonction de vos besoins, ils peuvent prendre en charge la numérisation de vos archives, ainsi que d’autres tâches essentielles pour le bon fonctionnement de votre société, telles que l’accompagnement au recrutement ou diverses missions de secrétariat. De plus, ISTA 49 est la première entreprise adaptée du Maine et Loire.

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