Quinze villes vont être desservies par ce nouveau service lancé par le transporteur français, filiale du groupe La Poste. Un virage s’amorce sur le marché français du transport de colis : dans le sillage d’Amazon, qui propose déjà des livraisons dominicales, l’expressiste Chronopost, filiale du groupe La Poste, s’adapte à son tour aux modes de consommation des e-acheteurs en lançant une formule 7 jours/7. Dès le 19 novembre, Paris et quatorze autres villes de la métropole, Nice, Marseille, Toulouse, Bordeaux, Montpellier, Rennes, Grenoble, Nantes, Reims, Lille, Strasbourg, Lyon, Toulon et Aix-en-Provence, seront intégrées dans cette nouvelle boucle qui prévoit d’acheminer le dimanche, entre 9 heures et 13 heures, à domicile ou dans un point relais, les commandes passées au préalable sur internet. Un secteur dynamique Cette évolution opérationnelle accompagne la croissance du commerce en ligne : en 2016, les français ont dépensé 72 milliards d’euros dans ce secteur, un chiffre en hausse de +14,6% par rapport à 2015 (source : Fevad, Fédération du e-commerce de la Vente à distance). Progressivement, les entreprises concernées adaptent leur organisation du travail à ces enjeux économiques. Pour gagner en efficacité et réduire les coûts, certaines d’entre elles cherchent à simplifier la gestion de leur chaine logistique en recourant à des plateformes centralisées et des comparateurs de prix, deux services proposés par Packlink PRO. En 2017, 36,6 millions de français réalisent des achats sur le web, soit 82,7% des internautes actifs. Ces chiffres illustrent l’ampleur du phénomène et traduisent la part grandissante des transporteurs dans le développement de ce nouveau business dont la stratégie marketing et le potentiel de croissance reposent sur l’efficacité des services de livraison déployés. Selon une étude réalisée l’an dernier par l’Ifop, le tiers des clients mécontents « changent d’e-commerçant » suite à la réception d’un colis endommagé ou parvenu hors délais, et 28% parlent de cette « expérience négative » autour d’eux. Ce résultat atteste que le montant des frais de port n’est plus le seul critère décisif apte à garantir la satisfaction finale du consommateur. C’est la fiabilité de l’ensemble du service de livraison qui est jugée par les internautes.
[...]88% des patrons interrogés dans une enquête Fiducial-Ifop estiment que François Hollande a échoué et ne doit pas se représenter en 2017.
[...]Les dirigeants des petites entreprises sont plus nombreux à afficher leur confiance dans l’avenir, indique un sondage réalisé par Ifop-Fiducial.
[...]Interrogés par l’Ifop, les patrons des entreprises de moins de 20 salariés anticipent un maintien de leur activité en 2015, sans embaucher pour autant.
[...]Seuls 44% des commerçants croient dans l’efficacité économique du travail dominical, indique une enquête Ifop.
[...]Selon un sondage Ifop, 88% des dirigeants de TPE restent pessimistes sur l’évolution de la croissance économique en France.
[...]Selon le dernier baromètre Ifop mesurant le niveau de confiance des TPE, les petits patrons retrouvent un peu de moral début 2014 mais doutent encore des effets positifs du Pacte de Responsabilité.
[...]Un léger retour de confiance se fait jour au sein des TPE, indique un enquête Ifop, mais le chemin est encore long avant d’évoquer un véritable reprise de l’activité et de l’emploi.
[...]Déjà sévère depuis un an, le constat des petits patrons à l’égard de l’action de François Hollande se durcit encore : pour 90% d’entre eux, l’actuel président est incapable de relancer l’emploi et la croissance, indique un sondage Ifop.
[...]Le gouvernement ne fait pas recette auprès des dirigeants des TPE. Déjà très défiants au début du mandat de François Hollande (32% de confiants), les petits patrons ne sont plus que 17% aujourd’hui à accorder du crédit à l’actuel pouvoir exécutif.
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