Il est possible de gagner convenablement sa vie en tant que rédacteur web. Ce métier passionnant peut être exercé en interne au sein d’une entreprise ou en tant que prestataire indépendant. Si vous choisissez de travailler en freelance, vous pouvez vous déclarer en tant que société, entreprise individuelle ou encore micro-entrepreneur. Le statut d’auto entrepreneur est le plus adapté pour exercer le métier de rédacteur web. Le rédacteur auto-entrepreneur Pour démarrer en tant que rédacteur web indépendant, il est recommandé de déclarer son activité. Cette étape est nécessaire pour pouvoir émettre des factures. La procédure à suivre pour devenir auto-entrepreneur est facile grâce à des formalités simplifiées. Vous pouvez effectuer la déclaration en ligne et gratuitement. Plusieurs informations doivent être renseignées dont vos coordonnées. Il est possible de travailler même si vous n’avez pas encore reçu votre numéro SIRET. L’INSEE vous le communiquera dans le plus bref délai. Si vous devez facturer alors que vous n’avez pas encore ce numéro, il suffit d’ajouter la mention « Siret en cours ». Il faut savoir que le statut de micro entreprise est largement apprécié des rédacteurs web de Scribeur. Les avantages du régime auto-entrepreneur ou micro entreprise Ce régime est avantageux pour les rédacteurs web. Le statut de micro entreprise permet de faire des économies puisque vous payez des cotisations sociales en fonction de votre chiffre d’affaires. Ces cotisations comprennent la CSG (Contribution Sociale Généralisée), la CRDS (Contribution au Remboursement de la Dette Sociale), l’assurance (indemnités journalières, invalidité-décès et maladie-maternité), la retraite de base, la retraite complémentaire obligatoire ou encore les allocations familiales. Si vous n’avez pas réalisé de recettes, vous n’êtes pas obligé de payer vos charges. Chaque mois, le montant des cotisations représente 18 % de vos gains. Le statut d’auto entrepreneur permet d’exercer votre métier de rédacteur web en toute légalité. Il est possible de bénéficier des indemnités Pôle Emploi. Vous n’avez pas besoin de disposer d’un apport lors de la création de votre statut et vous avez droit à une couverture sociale. Les étapes de la déclaration rédacteur web Il est facile de remplir le formulaire de déclaration d’auto-entrepreneur pour exercer le métier de rédacteur web. Optez pour « Activités libérales » dans la partie type d’activité. Vous devez ensuite choisir la case « Profession libérale rattachée à la CIPAV pour le régime vieillesse ». Pour la prochaine étape, vous pouvez renseigner votre numéro SIREN de votre précédente activité si vous en disposez déjà. Vous pouvez cocher « non » si vous n’avez jamais exercé un métier en tant que salariée. Sur le formulaire, on vous demande aussi le lieu où vous exercez votre activité. S’agit-il de votre adresse personnelle, d’une adresse de domiciliation ou d’une adresse professionnelle ? Il suffit de choisir celle qui correspond. Vous devez renseigner la date de début de votre activité et la nature de celle-ci. Si vous avez une activité secondaire, vous pouvez la préciser dans le formulaire en ligne. Vous avez la possibilité d’opter pour un versement mensuel ou trimestriel de vos cotisations. La formation de rédacteur web Le métier

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Avec l’essor du numérique, une stratégie marketing usuelle ne suffit plus pour développer une micro-entreprise. La présence sur internet est importante, voire indispensable pour qu’une entreprise se développe et soit pérenne. Pourquoi créer un site internet pour sa société ? Voici 3 raisons de créer une plateforme internet pour sa micro-entreprise. Faire connaitre son entreprise à un public plus large Le premier avantage qu’offre la création d’un site internet pour une micro-entreprise ou tout autre type d’entreprise est l’augmentation de la visibilité. En effet, exposer vos produits et services sur une plateforme vous permet de faire connaitre votre firme à un public plus important. Les chiffres montrent qu’en 2018, environ 88 % des Français passent un peu plus de 4 heures par jour sur internet. De plus, 61 % de ces personnes ont déjà effectué un achat en ligne. Vous avez donc assez de chances de toucher de nouveaux potentiels clients en créant un site internet pour votre entreprise. La création d’un site internet de qualité par une agence web comme CKC-NET vous permet de mettre en place plusieurs stratégies pour faire la différence. De même, avec une plateforme, vous avez la possibilité de proposer vos produits 24 heures sur 24. Vous pouvez donc conclure des ventes sans intervention. Proposer un meilleur service client La qualité d’un service client compte énormément pour le développement d’une firme. Le site internet vous permet de mettre en place un système de suivi efficace pour la satisfaction de votre clientèle. Ainsi, vous pouvez configurer une messagerie grâce à laquelle les acheteurs pourront vous contacter en cas de problème. Par ailleurs, pour rassurer les clients sur la qualité de vos produits, vous pouvez mettre les avis de vos anciens clients et leurs témoignages. Cette démarche vous permettra également d’améliorer l’image de votre marque. Se démarquer de la concurrence Le monde du commerce est vraiment concurrentiel. Il est donc important pour la survie de votre entreprise et de son développement de se démarquer de la concurrence. De ce fait, vous pouvez : créer une image de marque unique ; faire ressortir votre expertise ; opter pour une stratégie SEO pour un meilleur référencement. Pour faire ressortir votre expertise, vous pouvez publier des billets informatifs sur votre site internet. En outre, une stratégie SEO de qualité vous permettra d’augmenter votre visibilité sur internet. En étant plus visible, vous pourrez facilement attirer une partie de la clientèle de vos concurrents chez vous. Toutefois, une bonne technique de référencement demande des compétences. Si vous n’avez pas les connaissances nécessaires, il est préférable de faire appel à des professionnels dans le domaine.

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S’enregistrer sous le régime simplifié de micro-entrepreneur (ex-statut d’auto-entrepreneur) est l’affaire de quelques clics. Le procédure, réduite à l’extrême, génère en outre très peu de frais. Il suffit de se munir de quelques documents. La simplification administrative était l’un des engagements qui a sous-tendu la création du statut d’auto-entrepreneur en 2009. Ce régime bien connu a depuis été englobé sous une dénomination unique, la micro-entreprise. Mais la philosophie générale du dispositif initial est restée la même, notamment dans sa facilité d’accès. Devenir micro-entrepreneur en quelques clics Pour devenir micro-entrepreneur et adhérer à ce système juridique aux modalités très allégées par rapport aux formes juridiques de droit commun, il suffit de s’inscrire : la procédure est d’autant plus aisée qu’elle se fait en ligne. Nul besoin de se déplacer auprès d’un organisme centralisé dans une métropole urbaine. Tout se passe sur internet, soit depuis le portail « Auto-Entrepreneur » de l’Urssaf, soit sur le site wwww.guichet unique.fr. (il reste toutefois possible de se rendre physiquement dans un CFE, le centre de formalités des Entreprises implanté au chef-lieu du département dans lequel le candidat est domicilié). Cette étape administrative consiste en l’immatriculation de la micro-entreprise, dans le Registre du Commerce et des Sociétés (s’il s’agit d’une enseigne qui vend des marchandises ou réalise une prestation de services), ou dans le Répertoire des Métiers (s’il s’agit d’une activité de type artisanal). Cette démarche n’est pas facturée (ou à un montant modique dans des cas très rares) :  un agent commercial notamment qui choisit d’exercer sous le régime simplifié de la micro-entreprise, doit régler une somme de 20 à 30 euros. L’inscription nécessite la présentation de plusieurs pièces officielles : la carte d’identité bien sûr (à photocopier recto-verso), un justificatif de domicile récent (moins de trois mois). Le candidat doit également justifier d’un casier judiciaire vierge de toute condamnation pénale lui interdisant d’exercer l’activité professionnelle qu’il projette de créer : cette attestation est à récupérer sur le site infogreffe.fr. Remplir le formulaire Cerfa Lors de l’étape suivante, il est demandé au candidat à la création de renseigner le Cerfa « P0 Micro-Entrepreneur », un formulaire qui valide son démarrage d’activité et son adhésion au régime : il y mentionne le mode de prélèvement fiscal qu’il souhaite se voir appliquer (libératoire ou non). D’autres documents sont à verser avec le Cerfa « P0 Micro-Entrepreneur », Dont la copie du diplôme qualifiant ou du certificat d’expérience professionnelle (ces deux pièces sont exigibles lorsque le micro-entrepreneur souhaitent exercer une activité réglementée, la coiffure par exemple). Le preuve de la souscription à une assurance responsabilité civile ou une garantie décennale.

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Un travailleur indépendant qui exerce sous la statut simplifié de la micro-entreprise ne contribue à la Sécurité sociale que s’il enregistre un minimum de chiffre d’affaires. Comme tout professionnel, le micro-entrepreneur bénéficie d’un couverture sociale et verse, à ce titre, des cotisations destinées à alimenter les caisses d’assurance maladie, vieillesse, invalidité-décès, ou des allocations familiales…(dans son cas, il dépend de la Sécurité Sociale des Indépendants ou SSI, organisme rattaché au régime général, après la suppression de l’ex-RSI). La particularité du statut simplifié sous lequel il exerce le distingue toutefois des autres travailleurs indépendants qui évoluent sous une forme juridique dite classique (un gérant d’EURL  par exemple). En quoi ? Les taux qui servent de base de calcul aux cotisations dues par un micro-entrepreneur sont appliqués sur son niveau de chiffres d’affaires, là où un dirigeant d’entreprise relevant du droit commun est directement prélevé sur son revenu professionnel imposable, ou ses bénéfices (avec un seuil minimal de contribution fixé à 25% en fonction du résultat enregistré). Sans chiffre d’affaires, pas de cotisations à verser Pour faire clair : une micro-entreprise ne paie pas de cotisation sociales tant qu’elle n’encaisse aucune recette. Dès que son gérant déclare un chiffre d’affaires en revanche, il doit payer sa quote-part. Le montant de ses « charges » sociales s’établissent alors comme suit : Les pourcentage retenus sont de 12,8% du CA si l’activité porte sur la vente de marchandises, objets, fournitures et denrées à consommer sur place 12,8% sur l’achat-revente réalisé par des artisans 22% pour les prestations de service artisanales ou commerçante, ou une profession libérale (22,2% si l’activité libérale relève de la Cipav au titre de la prise en charge assurantielle de la vieillesse). Rappelons qu’un micro-entrepreneur doit adresser sa déclaration de chiffre d’affaires à l’Urssaf chaque mois ou chaque trimestre. Cette dernière périodicité s‘applique par défaut lors de l’inscription de l’assuré, sauf s’il personnalise son choix en faveur de l’autre formule. Risque d’amende en cas de défaut de déclaration La déclaration de CA est une procédure obligatoire (dès le 1er euro, même si le résultat est nul). Elle est à effectuer, comme les paiement de cotisations, sur le site www.autoentrepreneur.urssaf.fr :il s’agit donc d’une démarche dématérialisée (les versements par chèque ou espèces ne sont pas admis). A défaut, le micro-entrepreneur s’expose à une pénalité de 0,2% du montant déclaré ou réglé selon d’autres modalités de paiement non autorisées. Ces opérations peuvent être réalisées par ordinateur depuis le site www.autoentrepreneur.urssaf.fr sur tablette ou téléphone en téléchargeant ou en ouvrant l’application (Androïd ou Apple) Autoentrepreneur.urssaf. Si la démarche n’est pas effectuée dans les délais légaux, la micro-entreprise risque des pénalités de retard de 52 euros par déclaration manquante (soit 1,5% du plafond mensuel de la Sécurité sociale /PMSS, à 3 428 euros en 2022),  ou des majoration sur les cotisations à payer (de 5 à 15% si aucune déclaration n’est parvenus aux services de l’Urssaf au 31 décembre N+1)

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Ce statut ultra-simplifié a représenté 65% des immatriculations en 2020, indique le rapport annuel de l’Insee. Les chiffres officiels de la création d’entreprise sont tombés : ils sont particulièrement significatifs puisqu’ils portent sur l’ensemble de l’année 2020, un exercice marqué par la crise sanitaire et ses conséquences économiques. Dans son rapport, l’Insee décompte 848 200 immatriculations, un chiffre en hausse de +4% par rapport à 2019. Ce bilan positif ne traduit par une courbe linéaire : sans surprise, le nombre de créations avait lourdement chuté lors du premier confinement, entre mars et mai, avant qu’une reprise sensible ne s’amorce à partir de l’été, renforcée par un effet rattrapage lié au dégel de nombreux dossiers mis en stand-by pendant le printemps. Un autre coup de frein a été observé en décembre dernier (-4,2%), sans conséquence sur la tendance globale du quatrième trimestre, en très forte hausse (+ 16%) par rapport à la même période de 2019. D’autres disparités sont constatées entre les statuts juridiques : la part des nouvelles entreprises lancées sous le régime individuel classique est en repli de -13%. A l’inverse, les micro-entreprises, dispositif simplifié sur le plan administratif et avantageux fiscalement, continuent à progresser, au point de représenter plus de six créations sur dix (65%). Les créateurs ont 36 ans en moyenne Sans grande surprise, la fermeture de très nombreux commerces lors des deux périodes de confinement, complété par les couvre-feux démarrés en octobre, a créé un contexte « favorable » aux activités de transports et d’entreposage, boostées par l’explosion des commandes en ligne : le nombre de projets dans le secteur augmente de +22%. Parmi eux, les services de livraison à domicile ont suscité un pic vocations (+ 37% avec 22 400 créations).Dans le commerce de détail, le développement de la vente en ligne explique sans doute le chiffre positif calculé par l’Insee (+9%). Malgré l’arrêt quasi-total de l’activité, 2 500 nouvelles agences immobilières ont vu le jour l’an dernier, un total en hausse de + 10% sur un an. En revanche, les opportunités ont été moins nombreuses dans les métiers directement frappés par les restrictions induites par l’épidémie : les créations sont en berne dans les activités d’enseignement de disciplines sportives et de loisirs, mais aussi de coiffure et de beauté. L’Île-de-France reste à ce jour le plus gros réservoir de créateurs d’entreprise (leur nombre recule en revanche dans des territoires touristiques comme la Corse ou la Martinique). La moyenne d’âge de ces entrepreneurs rajeunit : elle s’établissait en 2020 à 36 ans. Moins de la moitié (39%) sont des femmes.

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Pour aider votre micro-entreprise à prospérer, vous devez être financièrement stable, et la budgétisation est la clé pour y parvenir. Que votre objectif soit d’obtenir un prêt commercial, d’attirer des investisseurs, d’embaucher des employés ou d’ouvrir une succursale, la budgétisation est impérative pour tirer le meilleur parti de votre micro-entreprise. Remboursez autant de dettes que possible Avant de démarrer votre micro-entreprise, essayez d’être aussi près que possible de vous libérer de vos dettes. Remboursez les cartes de crédit et autres dettes renouvelables à intérêt élevé, et remboursez les autres dettes (comme les prêts automobiles) si possible. Créez un fonds d’urgence si vous n’en avez pas et tirez pour trois à six mois de frais de subsistance mis de côté. D’après planeteentreprise.com, un fonds d’urgence de 1000 € devrait être considéré comme essentiel, car vous ne voulez pas être pris avec une facture de réparation médicale ou automobile imprévue lors du démarrage de votre entreprise. Évaluez vos besoins en revenus Naturellement, vous voulez gagner beaucoup d’argent, mais exécutez des chiffres pour avoir une idée de ce que vous devez gagner. Par exemple, si votre micro-entreprise consiste à fabriquer un produit, calculez le coût de vos fournitures par rapport à ce que vous pouvez raisonnablement vous attendre à facturer pour vos produits. C’est aussi une bonne idée de parler à un fiscaliste afin que vous puissiez comprendre vos obligations fiscales avec votre nouvelle entreprise. Gardez votre travail quotidien Démarrer votre micro-entreprise comme projet secondaire est un choix intelligent. Vous devrez peut-être conserver votre emploi actuel pendant quelques mois à quelques années avant que votre entreprise connaisse suffisamment de succès pour que vous puissiez le quitter. Entre votre travail régulier et votre nouvelle entreprise, vous serez occupé, mais rappelez-vous que vous construisez un rêve, étape par étape, et que finalement vous aurez la liberté d’être votre propre patron. Fixez des objectifs Garder un ou plusieurs emplois secondaires tout en développant votre micro-entreprise est intelligent, mais vous voudrez probablement finir par supprimer ces emplois pour consacrer votre attention à votre entreprise. Lors de la budgétisation, évaluez combien vous gagnez de vos emplois secondaires et combien vous devez gagner de votre entreprise pour remplacer ce revenu si vous quittez. La budgétisation intelligente et l’établissement d’objectifs sont les clés pour vivre la joie de vivre qui vient de quitter ce dernier emploi secondaire et de s’engager pleinement dans votre entreprise. Gérez les flux de trésorerie sur le long terme Une partie importante de la budgétisation d’une micro-entreprise consiste à comprendre les modèles de flux de trésorerie. Vous devez savoir combien de temps il faut pour collecter auprès des clients (et ajuster les politiques de facturation si nécessaire) et quand vous rencontrez des périodes de faible flux de trésorerie. Identifier les écarts de trésorerie est la première étape pour les combler. Revoir et réévaluer Après quelques mois, revoyez le budget de votre micro-entreprise. La budgétisation doit évoluer au fil du temps pour refléter l’évolution de la réalité. Ajuster les chiffres au besoin vous donne une image plus

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La croissance de l’entreprise prend du temps et des efforts, une croissance rapide ne se fera pas du jour au lendemain, mais vous pouvez prendre certaines mesures simples pour faire avancer votre entreprise. Voici plusieurs conseils simples et efficaces, qui peuvent aider les entrepreneurs à développer leur micro-entreprise. Créez un site Web optimisé De nos jours, chaque entreprise devrait avoir un site Web. La plupart des internautes trouvent des informations en effectuant des recherches en ligne. Votre site vous permettra ainsi d’en savoir plus sur vous avant d’utiliser vos services. Il existe de nombreuses plates-formes qui vous permettent de créer votre propre site web gratuitement. Cependant, il peut être rentable d’investir dans un site web conçu par des experts, adapté aux besoins de votre micro-entreprise. Si vous souhaitez aller plus loin, des sites comme pole-autoentrepreneur.com peuvent vous aider. Vous devez vous assurer que votre site est optimisé, en utilisant les techniques de référencement de base. L’optimisation pour les moteurs de recherche aide votre site web à se classer dans les résultats des moteurs de recherche. Si votre site est bien classé sur Google lorsque les internautes recherchent des mots-clés et des expressions liés à votre entreprise, cela vous aidera à générer plus de prospects. Exploitez les réseaux sociaux Les médias sociaux sont un outil incroyablement puissant pour les entreprises de toutes tailles. Grâce aux médias sociaux, vous pouvez interagir avec vos potentiels clients par le biais des commentaires et des messages directs. 71% des clients sont plus susceptibles d’acheter chez vous après un engagement positif sur les réseaux sociaux. En analysant les mentions J’aime, les commentaires et les partages sur vos publications, vous pouvez voir quels types d’informations les gens aiment, afin que vous puissiez personnaliser votre marketing. Le fait de disposer de canaux de médias sociaux permet également aux clients de partager plus facilement votre contenu et de vous promouvoir auprès de leur entourage. Ce qui peut être un outil puissant pour accroître la notoriété de votre marque. Apprenez à connaître votre marché cible Même si vous pensez que vous vous lanciez dans les meilleurs métiers en auto entreprise, vous devez savoir quel est votre marché cible. Ce sont les personnes à qui vous commercialisez vos services et vos produits, et celles qui sont les plus susceptibles de les acheter. Pour commercialiser efficacement, vous devez comprendre leurs désirs et leurs besoins et développer vos produits et services pour répondre à ces besoins. Une fois que vous saurez à qui vous faites du marketing, vous pourrez adapter votre stratégie marketing et vos contenus. Cela aidera non seulement à attirer plus de prospects, mais également à générer plus de conversions, car les personnes qui atterrissent sur votre site recherchent déjà ce que vous proposez. Sous-traitez à des experts Certains propriétaires de petites entreprises portent de nombreux chapeaux lorsqu’il s’agit de gérer leur entreprise. Cela arrive notamment lorsque vous débutez et que vous n’avez peut-être pas les fonds nécessaires pour embaucher du personnel. Cependant, si vous souhaitez développer votre entreprise, vous ne

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Frappés de plein fouet par la crise du coronavirus, les indépendants ont la possibilité de solliciter une aide exceptionnelle sous certaines conditions. L’arrêt « forcé » auquel les commerces (hors secteur alimentaire) sont confrontés depuis l’entrée en œuvre du confinement obligatoire lié à la propagation du Covid-19, une pathologie de type coronavirus, a conduit le gouvernement à mettre en place des mesure de soutien presque inédite « pour empêcher les faillites. Lorsque la crise a éclaté, le gouvernement a consacré le gros de son dispositif aux entreprises qui disposent d’en effectif de salariés en déplafonnant le montant des salaires pris en charge par l’Etat en chômage partiel, et en instaurant un congé maladie spécifique pour les parents. Un report de cotisations et d’impôts, pouvant donner lieu par la suite à des annulations sociales et fiscales pures et simples, également été annoncé. Les prêts garantis par l’Etat Quid des indépendants, des professions libérales, des TPE et des micro-entrepreneurs frappés par une chute brutale de leur chiffre d’affaires ? Pour ces forces vives du tissu économique français, le premier ministre Edouard Philippe a annoncé la création d’un fonds de soutien spécifique abondé à hauteur de deux milliards d’euros. Sur le terrain, cet argent sera redistribué sous la forme d’une aide forfaitaire attribuée sous condition : celle notamment de pouvoir justifier d’une baisse de 70% de leurs recettes en mars 2020 (non pas par rapport à février dernier, mais mars 2019). Si ce critère –certes très comptable – est rempli, l’enveloppe débloquée se chiffrera pour le mois en cours à 1 500 euros. Pour l’heure, ce montant sera « universel » : toutes les entreprises éligibles, quels que soient leur statut ou leur taille, percevront donc la même aide. La demande est à déposer directement auprès de la Direction générale des Finances Publiques (DGFiP). Les formalités à effectuer devraient être assouplies au maximum afin de permettre un traitement rapide des demandes. Le détail de la procédure à engager sera toutefois formalisée dans des textes réglementaires à paraître très prochainement. Le gouvernement promet toutefois de procéder à des examens « au cas par cas » pour déterminer s’il est nécessaire d’accorder des sommes plus élevées. Un dispositif spéciale « anti-faillite » est également prévu pour les TPE qui emploient au moins un salarié et qui rencontrent des très grandes difficultés économiques en dépit des autres dispositifs de soutien.

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Les principaux objectifs des micro-entreprises consiste à trouver des nouveaux clients et augmenter leur chiffre d’affaires. C’est pourquoi elles mettent en place différentes campagnes de communication. Cependant, certaines campagnes ne portent pas leurs fruits. D’où l’intérêt de contacter un professionnel comme par exemple une agence de communication. Travailler avec des vrais professionnels De plus en plus d’entreprises font appel à une agence de communication pour bénéficier de son accompagnement dans leurs projets. En effet, pour obtenir des bons résultats suite au lancement des campagnes, il est important de réaliser une étude, afin de connaitre ses besoins et ses attentes. Pour cela, il est conseillé de travailler avec un professionnel en la matière qui a de l’expérience dans les projets marketing. Ce dernier saura trouver les solutions les plus efficaces par rapport aux spécificités de chaque projet. Avoir un objectif bien défini Bien évidemment, toute entreprise a des objectifs. Le seul problème, c’est que la plupart du temps, on ne sait pas comment y parvenir. Par conséquent, il est difficile d’atteindre les objectifs. Le choix des supports, le contenu des messages, la stratégie de communication et d’autres critères doivent être déterminés avec soin pour avoir du succès. En faisant appel à un professionnel dans le domaine de la communication, il est certain qu’il trouvera les bonnes méthodes pour y parvenir. C’est d’ailleurs la meilleure solution pour que l’on puisse continuer à exercer son métier dans le quotidien. Profiter des dernières tendances Comme on le sait tous, aujourd’hui, le monde ne cesse d’évoluer. Pour pouvoir faire preuve de professionnalisme, il est important de tenir comptes des nouvelles technologies. Connaitre les tendances dans chaque domaine, surtout celui de la communication n’est pas à la portée de tous, c’est pourquoi il est préférable de faire appel à un professionnel. Quelle que soit la situation de votre entreprise, il saura trouver les meilleures techniques à adopter, pour vous aider à augmenter votre visibilité. Côté financier, de manière générale, les prestations proposées sont à la portée de tous. Comment choisir une agence de communication ? Aujourd’hui, de plus en plus de professionnels proposent ce service, mais il est toujours bon de savoir que pour un résultat exceptionnel, il est toujours préférable de bien choisir son agence de communication. Comment ? Surement en considérant plusieurs critères comme la notoriété, le savoir-faire, la compétence et l’expérience de l’agence. Pour tout découvrir, l’idéal sera de consulter les avis de ses clients. Vous pourrez ainsi vous renseigner sur la qualité des services qu’elle propose ainsi que la satisfaction de ses clients actuels.

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Environ la moitié des travailleurs indépendants qui figurent dans la première tranche d’imposition de la Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) ne paieront rien à partir de 2019. La détente fiscale sur le travail promise par Emmanuel Macron va faire sentir ses effets dès 2018. La mesure la plus forte concerne les « petits » dirigeants soumis, comme les autres, à la Cotisation Foncière des Entreprises (CFE), impôt qui remplace la taxe professionnelle depuis une dizaine d’années. 1 million d’entreprises concernées ? Rappelons que la législation actuelle prévoit une période d’exonération temporaire pour les créateurs d’entreprise, libérés de toute contribution au cours de leur première année, avant d’être soumis à un taux réduit de 50% lors de l’exercice suivant. En régime de croisière (soit au bout de trois ans), ceux qui réalisent un résultat de moins de 10 000 euros, sont redevables d’une cotisation forfaitaire minimum qui peut atteindre 500 euros. Une somme non négligeable au regard de la moyenne des recettes observées sur une année fiscale, inférieure à 5 000 euros pour les 2/3 des contribuables répertoriés dans cette première tranche, soit environ 1 million de personnes. Le coup de rabot opéré par la Loi de Finances 2018 ciblera donc ce public modeste : jusqu’à ce seuil de chiffre d’affaires, la CFE ne leur sera plus exigée. Cette mesure, qui entrera en vigueur l’année prochaine, exemptera les personnes concernées des droits additionnels afférents à la CFE, comme la taxe pour frais de chambres de métier et de l’artisanat. Aujourd’hui, le rythme de paiement de cet impôt dépend du CA de l’entreprise : en dessous de 3 000 euros, le règlement s’effectue en fin d’année. Au-dessus de ce seuil, un acompte de 50% est réclamé dès le 15 juin.

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