Sans les dispositifs mis en place par l’Etat pour soutenir la trésorerie des activités frappées par les conséquences de la crise sanitaire, le nombre d’entreprises « insolvables » aurait triplé depuis un an. Ce chiffre a finalement un peu moins que doublé. Trois chiffres sont à retenir du bilan d’étape présenté cette semaine par le comité de suivi chargé d’évaluer les effets des quatre principales mesures de soutien économique contre la crise de la Covid-19 : chômage partiel, report de cotisations, fonds de solidarité et prêts garantis par l’Etat.Avant l’épidémie, la part des entreprises insolvables se situait à 3,6%. Sans les aides, ce taux aurait grimpé à 11,9%, soit un niveau plus de trois fois supérieur à ce qu’il était au début de l’année 2020. L’impact des dispositifs mis en place par Bercy a permis d’amortir cette dégradation à +6,6%, un chiffre qui a finalement un peu moins que doublé par rapport à la situation initiale. Autre constat : les effets d’aubaine redoutés par la Cour des Comptes n’ont pas eu lieu. Les magistrats de Palais Cambon avaient notamment pointé le risque que certaines entreprises enregistrent, grâce au cumul des aides, un gain supérieur au montant de leur préjudice économique. Or, il apparaît que seulement 3 % des PME ont sollicité les quatre solutions proposées par l’Etat, et un nombre finalement très relatif d’entreprises, moins d’un quart (21 %) a complété son report de charges par la mise en place de chômage partiel. Les TPE ont demandé de l’aide D’après les données recueillies par le comité de suivi, 10 % des salariés exercent chez un employeur qui n’a demandé aucune aide. Parmi ces dernières, les deux tiers affichent –sans surprise – de bons résultats et dispose d’une assise financière confortable (chiffre d’affaires, rentabilité, trésorerie). Le rapport ajoute que « l’intensité du recours aux mesures décroît avec la taille des entreprises, le cumul de plusieurs dispositifs n’a pas été systématique et l’absence d’aide semble en première analyse largement volontaire, sauf dans le secteur de l’hôtellerie-restauration où une part beaucoup moins importante des non-recours –la moitié – semble délibérée (par déduction, l’autre moitié s’est trouvée dans l’impossibilité d’avoir accès aux aides). Dans le détail, il apparaît que la gros des soutiens financiers aient profité aux plus petites structures (souvent des commerces ou des micro-entreprises, frappés par trois confinement entre mars 2020 et avril 2021, et pénalisés par la mise en place de couvre-feux qui ont réduit leurs horaires d’ouvertures). D’après le rapport du comité de suivi, les TPE ont représenté 56 % du total des reports de cotisations, la grande majorité des sommes issues de fonds de solidarité, 27 % du chômage partiel et un peu moins de 27 % du volume des PGE. L’enjeu social est d’importance car ces mêmes TPE concentrent 20% de l’emploi en France.

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Dans le but de mieux se promouvoir sur le marché, de plus en plus de chefs d’entreprise décident de concevoir des objets publicitaires personnalisés. Ainsi, ils peuvent faire de la publicité à leur marque et convaincre les chalands à mieux s’informer sur leurs activités. Quand vous concevez vos objets publicitaires, il est recommandé de prendre en compte les valeurs de votre business. Afin de mieux communiquer avec les consommateurs au niveau local, de nombreuses entreprises collaborent avec des experts du marketing. De cette manière, les dirigeants peuvent recevoir des conseils pour l’élaboration de leurs campagnes publicitaires. Les spécialistes de la filière peuvent vous accompagner dans la réalisation du design de vos objets publicitaires. Renforcer la notoriété d’une TPE La communication par l’objet est parfois négligée par les petites et les moyennes entreprises. Toutefois, elle passe pour un moyen très efficace de populariser l’identité visuelle d’une TPE ou d’une PME et de renforcer sa notoriété dans la région. L’objet publicitaire est prisé par les experts du marketing, car ils peuvent aider les dirigeants à mieux communiquer au niveau local, régional, voire national. Certains chefs d’entreprise collaborent avec des experts du marketing afin de réussir à s’ouvrir plus facilement à l’international. Dans ce type de situation, la stratégie de communication concerne les locuteurs d’autres langues et les messages doivent être conçus en tenant compte des particularités culturelles du pays ciblé. Des solutions pour développer ses ventes En adoptant une stratégie de marketing efficace, il est possible de développer rapidement ses ventes non seulement dans les magasins physiques, mais aussi sur les sites marchands. L’objet publicitaire permet de promouvoir ses services et ses produits, de valoriser l’image de marque et de fidéliser ses clients. Au moment où vous choisissez le design de vos objets publicitaires, il est essentiel de tenir compte des caractéristiques de leur matériau, des valeurs de votre entreprise et des attentes des chalands. De plus, il est recommandé de prendre en considération les caractéristiques des campagnes mises en œuvre par vos concurrents. Les professionnels de Signature-pub.com vous aident à mener à bien vos projets et vos campagnes de promotion. Ils vous font des recommandations pour réussir votre stratégie marketing. Afin d’aboutir aux résultats escomptés, il s’avère parfois nécessaire de réaliser une étude de marché. De cette façon, vous pouvez découvrir plus en détail les contraintes du marché que vous ciblez. Les experts de Signature-pub.com vous aident à promouvoir efficacement votre image de marque dans votre région ainsi qu’à l’international.

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Les dirigeants des petites entreprises décident parfois de demander l’aide des banques pour mener à bonne fin leurs projets professionnels. Les garanties qu’ils peuvent produire ne sont pas toujours suffisantes pour recevoir l’aide financière souhaitée. Par conséquent, ils prennent la décision d’avoir recours au cautionnement, appelé également « fidéjussion ». Le cautionnement est une convention établie entre 3 parties par l’intermédiaire de laquelle l’une de ces parties se porte garante du paiement de la dette consentie par la deuxième partie pour que celle-ci reçoive un emprunt offert par la troisième partie. Les chefs des TPE peuvent ainsi obtenir plus facilement des emprunts bancaires. Les exigences des banques Les établissements de crédit exigent d’habitude auprès de petites et très petites entreprises sollicitant leurs concours de constituer des garanties personnelles ou réelles afin de prévenir le risque d’impayés. Dans la majorité des situations, les banques considèrent que ces garanties ne sont pas suffisantes pour accepter le dossier des TPE. Ainsi, elles déclinent la demande d’emprunt des entrepreneurs. Les TPE ont recours au cautionnement pour pouvoir obtenir le prêt souhaité. Le cautionnement est également connu sous le nom de « fidéjussion ». Cette convention est considérée comme l’une des meilleures solutions qui peuvent être proposées aux dirigeants des TPE pour les aider à réaliser leurs projets professionnels dans les plus brefs délais. Etapes à parcourir pour solliciter une fidéjussion La « fidéjussion » est jugée par les banquiers comme une forme de sûreté. En général, les établissements de crédit ne peuvent plus exiger d’autres sûretés aux dirigeants des TPE une fois que la caution a été obtenue. Les dirigeants qui recherchent à financer leurs entreprises doivent suivre quelques étapes afin de pouvoir solliciter un cautionnement. Compte tenu des caractéristiques de leurs projets, ils doivent d’abord choisir une banque et lui demander les conditions d’ouverture de prêts. Ensuite, il faut lui présenter un dossier de demande « fidéjussion ». Au cas où ils reçoivent l’avis favorable, les dirigeants doivent adjoindre au dossier la notification de pré-cautionnement et l’introduire auprès de la banque choisie. Les experts d’Atradius vous offrent de diverses garanties financières afin que vous puissiez mener à bien vos projets d’entreprise et optimiser la gestion du risque client. Ils peuvent vous proposer non seulement des cautions de marché dites contractuelles, mais aussi des cautions légales. Ces dernières sont généralement dédiées aux constructeurs (CMI), aux agences de voyages et aux spécialistes du secteur agro-alimentaire. Les spécialistes d’Atradius proposent des cautions financières, légales et économiques aux professionnels d’autres secteurs d’activité.

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Depuis plusieurs années, Facebook reste en tête du classement des réseaux sociaux préférés des internautes. Le média social est également le préféré des professionnels et des entrepreneurs, qui mettent en place une véritable stratégie de marketing sur Facebook. Ces tendances ont été confirmées par l’étude menée par Buffer et Social Media Week. Selon les particularités de chaque secteur, Facebook offre plusieurs opportunités aux entreprises qui souhaitent développer leur visibilité en ligne. Selon une étude menée par Buffer et Social Media Week auprès de 1 700 professionnels, Facebook est la plateforme n°1 de social media marketing dans les entreprises. Cette plateforme est utilisée régulièrement par 96 % des personnes interrogées. L’étude Buffer et Social Media Week a été menée auprès de professionnels du marketing qui travaillent dans différents secteurs, dont l’éducation, l’informatique et la publicité. Près de 50% des personnes interrogées travaillent dans des TPE. Quelles sont les nouvelles tendances en matière de social marketing ? Selon l’étude Buffer et Social Media Week, Facebook occupe la 1ère place dans le classement des médias sociaux utilisés par les entreprises. Pour évaluer l’efficacité de leur stratégie marketing sur Facebook, les professionnels analysent régulièrement l’engagement de leurs publications, la portée, le nombre des leads générés, les ventes en volume et le chiffre d’affaires. L’engagement constitue le principal critère, qui permet de construire une relation durable lors des futurs échanges. Le potentiel des vidéos et des lives sur Facebook En ce qui concerne les types de contenus partagés sur les réseaux sociaux, les vidéos passent devant les images, le GIF et les textes. 85 % des interrogés préfèrent la vidéo et considèrent que c’est le meilleur moyen d’obtenir l’engagement des internautes. Cependant, de nombreux professionnels sous-exploitent le potentiel des contenus vidéo par manque d’idées, de temps et de budget. De plus, les vidéos nécessitent des optimisations pour augmenter leur visibilité, qui ne font pas toujours partie des compétences des responsables marketing. Pour créer un lien de long terme avec le public, les TPE peuvent réaliser des lives sur Facebook. Ce type de vidéo permet de générer un meilleur engagement, dans la mesure où le projet est bien géré. L’étude nous révèle également que les entreprises envisagent d’augmenter leurs budgets de communication sur les réseaux sociaux, ce qui signifie que ces supports leurs offrent un potentiel de développement important. L’avenir des community managers dans les TPE La plupart des TPE sont conscientes du potentiel de développement de leur business sur Facebook et envisagent d’augmenter leur budget de communication sur les réseaux sociaux. L’avenir des community managers est promettant, mais les entreprises privilégient les profils avec plusieurs mois, voire plusieurs années d’expérience. Pour faciliter la réussite des professionnels dans les postes de community managers, l’école Ircom propose un Master en Communication. Ce Master propose de nombreux cours sur la stratégie digitale, les réseaux sociaux mais aussi une spécialisation en marketing digital. Pour allier théorie et pratique, la deuxième année se fait en alternance.

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Les petites et moyennes entreprises occupent une place importante dans l’économie à présent. Cependant, les crises et la concurrence élevée du marché fragilisent leur situation. Pour s’adapter à cette réalité tout en restant compétitives, les PME et TPE sont amenées à revoir leurs priorités et à consacrer leurs ressources sur leur cœur de métier. Pour cela, il leur faudra confier une partie de leurs activités à d’autres sociétés. C’est ainsi que l’externalisation est devenue la meilleure alternative pour les professionnels. PME et TPE : se tourner vers l’outsourcing pour devenir plus performantes Dans les grandes entreprises, l’externalisation permet de maîtriser les coûts de production et de confier des branches telles que la relation client et le webmarketing à des prestataires, dont notamment les agences et call center Madagascar. Pour davantage d’informations, les détails sur les services disponibles sont accessibles sur http://www.nosycom.com. Les grandes enseignes ont compris depuis longtemps l’importance de l’accompagnement des outsourcers. Dans le cas des petites et moyennes structures, la situation sera plus difficile à comprendre, car très peu d’entre elles connaissent l’avantage de s’engager dans la transformation digitale et les apports d’une stratégie axée sur les innovations technologiques. Le choix de l’assistance d’une société spécialisée les aidera donc, dans un premier temps, à avancer dans l’univers du numérique. La voie de l’outsourcing permet également de régler les contraintes de compétences et de ressources qui pénalisent souvent les PME et les TPE. Former les équipes ou recruter de nouveaux employés reviendra toujours plus cher à long terme. L’externalisation est plus efficace si on veut réaliser des tâches ponctuelles ou de longue durée selon les moyens à la disposition de l’entreprise cliente. Les coûts des prestations seront nettement inférieurs, comparés à ceux qu’engendrerait l’embauche de plusieurs salariés et la création d’une branche particulière en interne. Les tâches et les opérations à externaliser L’innovation numérique et les nouveaux supports de communication amènent les entreprises à moderniser leurs outils et leurs pratiques. Les PME et TPE qui sauront utiliser internet pourront se démarquer de leurs concurrentes. Par conséquent, pour pouvoir être présentes sur la toile, les petites et moyennes structures auront besoin de créer une plateforme en ligne. Les tâches pour le développement web, le référencement et le webmarketing pourront être réalisées efficacement par une société spécialisée. Les cadres des compagnies d’assurance pourraient avoir besoin des services d’une assistante de direction. De nombreux call center en outsourcing proposent cette forme de prestation (assistant virtuel, télésecrétariat). Enfin, il y a les opérations indispensables en marketing et relation client. En optant pour l’accompagnement d’une agence externalisée, le routage e-mailing, la téléprospection et la prise de commande peuvent être effectués en externe.

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Le dernier décompte de la Banque de France confirme une amélioration de conjoncture pour les entreprises : le nombre de faillites observé sur douze mois recule de -7,2% par rapport à 2015. 58 873 entreprises ont déposé le bilan l’an dernier, sur une période de douze mois comprise entre janvier 2016 et janvier 2017 : c’est environ 3 500 moins par rapport au précédent décompte effectué sur le même glissement annuel entre 2015 et 2016 (62 334). L’amélioration est donc nette mais elle ne reflète pas une reprise de l’activité franche et massive : en 2008, avant le déclenchement de la crise, 49 000 structures avaient subi une procédure de redressement, soit 1,65% de l’ensemble des entreprises. Un taux qui descendait même à 1,5% lors des deux années précédentes, en 2006 et 2007 (source : Insee). Après dix ans de turbulences, surtout pour les petites entreprises, la situation semble enfin s’améliorer dans le secteur de la construction où le nombre de défaillances a ralenti de -12,4% en 2016. Une embellie se fait sentir également pour l’industrie (-11,2%), le commerce et la réparation automobile (-8%) et l’hébergement-restauration (-7,7%). La Banque de France décerne ses plus gros bémols dans l’agriculture, la sylviculture et la pêche (+5,2%), les métiers du transport et de l’entreposage (+3,3%). Les grands groupes et les ETI (Entreprises de taille intermédiaire) ont davantage tiré partie de la reprise (-21,1%) que les PME (-7,1%) et surtout les TPE, commerces ou artisans qui rencontrent toujours des difficultés sur leurs marchés respectifs. En 2016, 55 000 petits patrons ont perdu leur activité.

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